lundi 5 novembre 2012

La place de la voiture dans la société

Il est un fait que les années 70 ont connues ce que l’on a appelé le « tout voiture ». De nombreuses grandes villes ont montré la limite de cet exercice, et nous ont conduit à rejeter un système centré uniquement sur la circulation des véhicules « privés ». Nous avons tellement réussi à catégoriser ce monstre de stratégie à bannir que nous en avons oublié de trouver un nom à son remplaçant. J’engage tous les littéraires de bonne volonté à nous aider sur la question, mais voici quelques exemples :

- La ville du père Ubu
- Le piège des citadins
- Le fanatisme vert
- La démagogie massacrante

Eh oui notre nouvelle politique n’a ni nom, ni philosophie, ni stratégie, mais elle remplace à merveille le « tout voiture ».


Comment peut-on décider de supprimer la politique du « tout voiture » et ne pas se poser les questions essentielles : Quelles sont les raisons qui nous poussent à prendre la voiture ? Les deux grandes catégories sont bien le travail qui reste centré sur Paris et le « quotidien de la famille » dont font partie les courses, les magasins où ces derniers restent maintenant excentrés des agglomérations.

On nous pousse donc à prendre notre voiture mais on fait tout pour fermer les axes de circulation. Comment faut-il faire ?

Comment espère-t-on résoudre un problème avec de telles contradictions ?

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