lundi 5 novembre 2012

Le mépris des axes de circulation

Les exemples sont tellement nombreux. Prenons celui de la national 20 ? Ancien grand axe d’alimentation de la ville de Paris.


- Combien de magasins au bord de la route ? Si seulement on pouvait les construire directement sur la route elle-même pour que les gens soient sur s’arrêter.
- Combien de nouveaux logements sont construits avec vue sur la route ?
- Combien d’arrêt de bus ne permettent même pas à ceux-ci de s’arrêter correctement sans continuer d’empiéter sur la route ?
- Combien de bande d’accélération mesurent moins de 5 mètres de long ?
- Combien de bande de décélération mesurent moins de 5 mètres également ?
- Combien d’intersections coupent cette nationale avec un système de feu ?
- Combien d’accès sur la national 20, se font directement par un système de stop ?
- Combien de sorties de magasins se font directement sur la route ?
- Combien de personnes se garent au bord de la route pour accéder aux magasins ?

Ce mode de construction est une hérésie à part entière. Ce développement anarchique des constructions en bordure de route, nous conduit obligatoirement à la saturation.

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